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| | | EW #12 - Enzo Amore vs. Kevin Steen |  |
| | | Auteur | Message |
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Emerald
Président de l'Emerald
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Personnage
Personnage: Daniel Bryan
Gimmick: Face
| Sujet: EW #12 - Enzo Amore vs. Kevin Steen  Mer 18 Oct - 0:47 | |
| MAIN EVENT.
ENZO AMORE vs. KEVIN STEEN
Single match. | |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: EW #12 - Enzo Amore vs. Kevin Steen Jeu 19 Oct - 18:58 | |
| PASSION, nom féminin.
Amour intense. Émotion très forte qui va à l'encontre de la raison. Periscope, live on twitter and facevook.
Vieux smartphone, belle baraque, dom pérignon, tu connais.enzo. IT WAS 'BOUT TIME, BRUH ! IT WAS ABOUT DAAAAAMN TIME !... FINALLY, THE 'ZO HAS COME BACK... TO WHERE HE BELONGS... THE MAIIIIN EVENT ! enzo. Enzo Amore en main event, il était temps, putain. Après avoir envoyé Bad Luck Fale à l’hôpital, how you doin', Sami Zayn en dépression, how you doin', Kane à la retraite, how you doin', j'me suis débarrassé de MVP dans un match que certains jugeront brutal. Pour moi ? Juste une journée normale pour le new jersey real G, Enzo Amore ! Pourtant cette semaine, comme contre Fale, comme contre Zayn, comme contre Kane, comme contre MVP... Je suis le dark horse, l'outsider, l'underdog. Et ça pourrai en saouler plus d'un, ouais... Mais moi j'aime ça. C'est mon fond de commerce de terrasser les gros durs, ma patte perso de triompher des probabilités. I'm Enzo Amore, and that's what I do. enzo. Et cette semaine encore les probabilités sont plus folles que la précédente. L'obstacle plus insurmontable, la montagne plus infranchissable... Une grosse montagne barbue du nom de Kevin Steen. Steen, on vie pas dans le même monde. Toi t'es ambiance sombre, promos assit dans le noir avec un calque de noir à 20% sur l'image. T'es dans l'insulte, les cris, les beuglements, la sueur, le primal, le bestial !... Moi j'suis tout l'inverse, quand tu te balades dans t-shirts dégueulasses aux manches déchirés que tu portes pendant des mois, je change de veste à 4000 dollars chaque jour. J'ai tellement de montres Rolex qu'il me faudrait quinze bras, et tes bottes de lutteur tout droit sorti des années 50s font de la peine à côté de mes J's scintillantes et colorées. T'es la bête, j'suis le bellâtre. T'es l'ours mal léché, j'suis le léopard stylé. T'es le gamin mal dans sa peau à l'école qui tape les petits nerds pour se défouler de son père qui le tape et sa mère qui le castre, celui qu'on n'invite jamais nulle part, sans ami, incapable de nouer des liens avec qui que ce soit, un petit bully qui finira au mieux manager dans un McDo ou homme de ménage dans une salle des fêtes. Moi ? Je suis l'enfant cool que tout le collège adorait, invité de partout, après qui les filles couraient, je suis le quaterback qui sortait avec la lead cheerleader. Bref, t'es le vilain petit canard haineux, plein d'angoisse et de mal-être qui a besoin de tout déverser sur les autres. Tu te consoles de ta condition misérable avec cette explosion ridicule de haine et de violence. Hey mec, flash news : t'es pas l'ennemi public numéro un, t'es le gars chelou que tout le monde regarde de travers en haussant les épaules. T'es le clodo un peu taré dans le métro que les gens évitent. Mais crois pas que c'est de la peur : c'est du dégoût... But hey, I'm just sayin'.Sourire, haussement d'épaules, parce que la narration sert à décrire et pas à "shooter" de manière absolument pas subtile. enzo. Mais pas moi Kevin. Tu sais, c'est marrant, j'ai beaucoup d'empathie pour toi beaucoup... D'amour ? Après tout mon nom est Amore, that's italian for love, just so you know. Et tu me fais beaucoup de peine, parce que tu es dénué d'amour. Tu aimes rien ni personne, et surtout... Tu n'aimes pas ce business. Tu luttes parce que t'étais pas assez athlétique pour l'UFC, c'est juste une excuse pour te défouler et te débarrasser de tout ton mal être intérieur ce métier. Moi par contre j'aime ce job, j'aime ce business, je l'aime passionément. C'est comme une maîtresse, et je lui fait l'amour tu vois ? C'est une femme qui a été bonne avec moi : gloire, fortune, bonheur. Grâce à ce métier, j'ai pu acheter une maison à ma mère, une voiture à mon père, et des études à mon petit frère. Parce que quand on aime ce monde, quand on aime ce business, il nous le rend. Tu penses tout comprendre à la lutte parce que tu as eu du succès Kevin, mais tu n'aimes pas ce ring, tu n'aimes pas ce sport, tu n'aimes pas ce business. Et crois moi, le catch sait que tu ne l'aimes pas, et ça va te revenir dans la gueule.  enzo. Et quand je te parle de revenir dans la gueule je parle pas de mort sanglante ou de blessures incapacitantes, je suis pas un malade comme toi. Le meurtre a rien à foutre dans le catch, pas plus que les beuglements incompréhensibles, les agressions au premier degré et les tentatives de meurtre. Parce que c'est ce que c'est mon gros : du catch. Pas une question de vie ou de mort comme tu sembles le croire, pas un hunger game grandeur nature, mais du sport. Du spectable. Du divertissement. Du show. Why so serious bro ? Tu ressembles à papa ours furieux parce que boucle d'or a pissé dans sa soupe. Et encore une fois, ça me fait de la peine gars, vraiment. Personne t'aime, t'aimes personne, et t'es tout le temps chafouin. Triste vie, vraiment. A quoi bon vivre dans ce cas d'ailleurs ? T'apportes rien à la société Kevin. T'aimes penser que les gens te détestent parce que ça te rassure un peu, ça te fait te sentir important, mais comme je te l'ai déjà dit les gens sont pas assez investis en toi pour te détester, tu leur inspire qu'un vague dégoût. Franchement j'ai connu des suicidés dont la vie était moins triste que toi, how you doi... Well not that good obviously. Et c'est pour ça que tu me fais de la peine. Tu sais, j'ai un grand cœur, assez grand pour toi Kevin. On peut s'asseoir, je te payerai un grec - ou deux, vu ton vide tu dois pas te contenter de si peu - puis tu me racontera ta vie, tes échecs et ton passé : parce que c'est tout ce qu'il te reste. Je te consolerai en évitant de parler de ma vie, mes réussites et ma gloire future. Après tu pourras pleurer, pendant trois heures s'il le faut, parce que ton état constant de dépression a besoin de ça pour s'améliorer, pas de faire de menaces de mort et de taper sur tout ce qui bouge comme un débile. Après, pendant que tu t'endormiras la tête sur mes genoux, je te caresserai les cheveux comme le ferai ta mère. Puis je te mettrai un plaid dessus pour pas que tu attrapes froid, et j'irai ensuite consoler ta femme, parce que vivre avec un dépressif ça doit pas être fun, et crois moi elle tu peux être sûr qu'elle attrapera pas froid collée à moi. Does that sounds good to ya' Kevin ?Mine grimaçante, Enzo Amore pousse un petit grognement. enzo. Et tu pourras grogner et pester tant que tu veux comme tu le fais toujours Kevin, prendre ta big bad boy face - parce que je sais que tu vas le faire : c'est ce que tu fais tout le temps - ça changera rien. Ça changera rien au fait que t'es un gamin dans un corps d'obèse, un gamin qui a jamais grandi et regarde toujours le monde entier en se disant qu'il le déteste, un gamin égoïste mais victime de son sort, mal-aimé, pas aimé en fait, et qui aime personne. T'es ce genre d'ado dont le malêtre est un puits sans fond, comme tous ces gosses qui font des tueries dans leurs écoles avant de se suicider - Columbine, Virginia Tech, Newteen, Killeen, and all the others : never forget. La différence entre ces meurtriers répugnants et toi, c'est qu'on peut encore te sauver. Ouais, on peut encore te sauvegarder Kevin, te faire grandir. Je vais t'apprendre l'amour en te bottant le cul lundi soir, je vais te montrer le chemin. Puis quand l'arbitre lèvera mon poing en l'air tu réaliseras que toute cette colère et cette haine mènent nul part. Tu me demanderas des conseils et je te payerai une bière pour en parler - quoi que tu dois être ce genre de connards hautains qui boivent pas d'alcool pour se sentir supérieurs aux autres. Mais c'est cool, on est cools. Lundi tu pourras arrêter de faire semblant Kevin. Parce que je suis pas comme les autres. Real eyes realize real lies, ya' know. Je vois clair dans ton jeu, je vois clair dans ton mal-être. Pour les autres t'es un gros connard désagréable, pour moi t'es un petit enfant mal dans sa peau. J'ai perçu ta détresse Kevin, je l'entends, je la ressens. Je vais t'aider mon gars, t'inquiète pas. Ça sera long, ça sera dur - that's how ladies like it - et ça nécessitera un paquet de torgnoles dans ta gueule, mais on y arrivera. Et après ça, peut-être pas après lundi, mais bientôt, tout le monde te verras comme je te vois, comme tu es réellement Kevin. Un gros nounours pas méchant pour un sou. enzo. Je me rends compte que j'ai surement niqué le travail de l'équipe marketting de l'Emerald sur ce coup. Ils vont vendre ce main event comme un truc énorme. Deux mecs encore invaincus, 4-0 contre 4-0 - sauf que j'ai remporté ces quatre matchs en cinq semaines et pas en cinq mois comme Kevin - une affiche de rêve ! Alors qu'en vrai c'est un showman spectaculaire et un athlète hors-norme : moi. Contre un gros tas absolument pas charismatique, qui compense son absence de personnalité en criant le plus fort possible. Come on Kev, fais quelque chose ! Va au moins à la salle de sport, fat ass ! Personne te trouve impressionnant à cause de ton physique, c'est pas ça qui fait peur aux gens, c'est ton instabilité mentale. C'est ça qui inspire la peur aux deux trois tocards que t'affrontes tous les 22 du mois. Et c'est cette peur qui t'as permis de grapiller quelques victoires. Mais moi... Bah moi j'ai pas peur de Kevin. Et c'est tout ce qu'il a pour lui : la peur qu'il inspire. Il le sait bien, c'est pour ça qu'il a tapé sur des nanas dès la première semaine, pour impressionner, pour faire du bruit, pour en imposer. C'est dur quand on en a une petite paire de poser ses couilles sur la table. Alors on enrobe cette minuscule paire de noyaux un énoooorme caleçon en titane, et on espère que ça passera, on espère que personne verra derrière cette mascarade, cette pièce de théâtre. Que personne verra que derrière ce rôle y'a juste un petit garçon mal dans sa peau qui a besoin qu'on l'aime. And I care about ya' Kevin. I care about you more than your big fatass of a mum ever did. I care about you like you're my son. And every once in a while, you need to give your son an ugly beating. You need to beat some sense into him ! Et c'est ce que je vais faire lundi.On entend le "caméraman" - une bimbo qui tient l'Iphone de 'Zo - lui demander si c'est fini. enzo. Hey ! Parle pas quand ça tourne !... Bien sûr que c'est fini. J'ai pas besoin de finir chacune de mes prises de parole par une catchphrase débile puis dire en cinq langues différentes que ma promo est finie, je suis pas un attardé. Molto amore. |
| | | | Freddy
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| | Sujet: Re: EW #12 - Enzo Amore vs. Kevin Steen Sam 21 Oct - 2:54 | |
| Ce n'est pas personnel, c'est uniquement les affaires. - Michael Corleone.
Kevin Steen face caméra, quelques heures avant le début d'EW #12. Pas besoin d'en savoir plus. KEVIN STEEN - My name is Kevin Steen, and i'm a guy with a 266 pound fat belly, and you can't teach that... Badaboom, realest wrestler in the room. How you doin' ? KEVIN STEEN - Je sais Enzo, tu attends cet affrontement avec impatience, pas vrai ? Pour toi c'est la chance du siècle, le combat de ta vie. T'as déjà l'impression de jouer ta carrière dans un main-event de weekly contre Mr Wrestling. T'as le sentiment que c'est un accomplissement, que c'est une réussite, que de pouvoir m'affronter. T'es déjà en train de modifier ta page wikipédia, de prévenir tout le monde sur facebook et sur twitter, que tu vas écrire l'une des plus grandes lignes de ton histoire. T'es tellement branché mec ! Saches seulement que pour moi, ce n'est qu'un match de plus. Tu n'es qu'un énième mec sur ma liste, ma route... Tu n'es qu'une poussière de plus que je m'apprête à balayer. Tu n'es qu'un détail, tu n'as toujours été qu'un détail.Enzo Amore, un vulgaire détail en 4-0.KEVIN STEEN - Pourtant t'es pas mal en forme ici... Je crois d'ailleurs me souvenir que nous en sommes au même point, right ? Undefeated. Toi et moi, nous n'avons jamais connu l'échec ici à l'Emerald Wrestling et malgré ça, tu es et reste celui sur qui personne n'ose miser. Tu restes celui sur lequel personne ne veut parier, de peur de perdre de l'argent si bien que même toi... tu n'oses pas mettre une pièce sur ton hypothétique victoire. Triste réalité. Tu es au même niveau que moi mais tu restes l'underdog numéro un. J'aimerais dire que je te comprend, que je sais ce que tu ressens. Malheureusement ce n'est pas le cas, je n'ai jamais été considéré comme l'outsider, comme celui censé déjouer les pronostiques. J'ai toujours été au dessus de ça. Que tu sois en ratio positif, que tu sois invaincu depuis deux ans, ça ne change rien. Tu sais quoi Amore, c'est pas le nombre de victoire qui fait de toi quelqu'un de valeur. Pire encore, c'est pas le nombre de victoire qui fait de toi quelqu'un d'important, qui fait de toi ... un gagnant. Alexa Bliss, how you doin'.  KEVIN STEEN - T'es balaise mec. T'as battu Bad Luck Fale et Kane que plus personne n'a jamais revu depuis. T'as même affronté et rivé les épaules de Sami Zayn au sol. Guess what, i've just beat Sami last week ! Seulement lorsque je l'ai affronté, chacun croisait les doigts pour que je ne tue par mon pauvre ami. Toi, les gens se demandaient combien de temps tu mettrais avant de te ridiculiser. Pour l'instant tu t'en sors pas mal, c'est terminé. T'es désormais dans la cours des grands. Tu veux voler de tes propres ailes, tenter de tirer ton épingle du jeu ? Goûter à la gloire ne t'as pas suffit ? Pas étonnant, tu n'y as goûté que quinze jours. Il t'as fallu combien de temps pour remporter quelque chose ? T'as eu besoin de combien de chances ? Enzo, en quatre ans dans l'école de la WWE, tu n'y as jamais rien fait si ce n'est tenter de chopper la copine de ton partenaire. Quelques mois m'ont été suffisant pour que j'en décroche la ceinture. Tu sais quoi, on pourrait se comparer pendant des heures. Rapidement, Steen fait mine de vouloir entreprendre une longue liste comparative entre son adversaire futur et lui.KEVIN STEEN - Je ne vais néanmoins par faire ça. Je ne suis pas de ton genre, Enzo. Je ne suis pas ici pour faire un concours de sexe -que tu perdrais-. Je ne suis pas ici pour mettre en relation ma carrière à la tienne. Je ne suis pas ici pour te dire que j'ai plus de world title que toi de paires de jordans. Surely not ! J'aurais bien trop peur des représailles. T'es quand même un certified G. T'es un gangster sans foi ni loi. Normal, quand on vient d'un quartier sous le seuil de pauvreté mélangeant blancs consanguins, blacks et latinos. J'aurais bien trop peur de te causer du tord, de te faire fermer ta petite gueule minable à coup de Package Piledriver... Mais j'imagine l'image que tu aurais eu, si je t'avais fait pleurer comme a pu le faire ton ancien partenaire. KEVIN STEEN - Tu veux qu'on demande son avis à Big Cass ? Inutile... Tu n'as jamais été que sa voix, Amore. T'étais là pour qu'on empêche ce gros singe de prendre le micro, il était là pour qu'on t'empêche de mettre un pied dans le ring. Pitoyable... Je suis né avec un micro dans les mains, je suis né avec mon gros cul canadien dans le ring. Tel est le monde qui nous sépare. J'étais déjà dans ce ring quand t'étais encore au lycée. Tu veux te la donner avec moi ? Fantastique ! J'adore casser du loser, amateur de jeux vidéos et de films débiles. Je vais renvoyer ton petit cul dans le New Jersey, d'où tu pourras regarder l'Emerald Wrestling en toute tranquillité. Tu ne seras rien de plus dans l'histoire, qu'une phrase cool dont les gens se sont finalement lassés au bout de deux ans. T'es juste un vulgaire Ron Simmons du pauvre... J'attend ta réponse en trois parties pour me prouver le contraire.
Quel shoot ?KEVIN STEEN - Ici, l'humour n'égal pas le talent. C'est surement pour cette raison que ceux qui t'appréciaient au début, finissent par te haïr. Tu n'es qu'un clown détesté et ce n'est même pas la faute de ce personnage que tu t'es créé. Tu ne fais le buzz que grâce à tes frasques et à tes envolées lyriques toutes plus idiotes les unes que les autres. T'aimes les célébrités, ça tombe bien. Tu n'es que la Kim Kardashian du wrestling business. T'as voulu profiter de la hype de Conor McGregor ? Très bien... Pourquoi n'as-tu pas continuer malgré sa venue ici à l'Emerald ? T'aurais voulu l'affronter, le confronter, mais tu n'as rien fait pour une fois l'occasion se présentant. You're nothing else than a certified coward. KEVIN STEEN - Il est temps que cette blague prenne fin, que tu retournes jouer les caïds dans ton quartier. Tu n'as pas à ta place ici, tu ne l'as jamais été et ne le sera jamais... On te laisse te changer dans les vestiaires à l'Emerald ? Tu te fais virer de là où tu vas, où que tu ailles. Je saurais te faire dégager de mon ring, sans aucun soucis. Tu n'es pas un adversaire de grande valeur, bien que tu veuilles nous faire croire le contraire. Enzo, tu n'es même pas l'un des plus mauvais de toute une génération, non, tu es le pire. Je suis une légende, tu le sais, et c'est pour cette raison que tu essayes de te comparer à moi. C'est exactement pour cette raison que pour toi, notre affrontement à venir s'apparente à l'accomplissement de toute une vie. Pour moi, ce n'est qu'une simple routine.Steen fait un mouvement de bras, comme s'il envoyait voler cette idée, tout comme il enverra voler Amore dans quelques heures.KEVIN STEEN - T'es qu'un bonafied stud obligé de lâcher un billet pour se satisfaire et qui s'en ira lorsque le métier ne payera plus autant. J'ai une femme, deux gosses, et des années de carrière qui m'attendent... Je monte dans ce ring aussi souvent que tu glisses des billets dans les lingeries des prostituées, dont tu n'es même pas capable d'acheter le silence. J'imagine que tu te vois déjà en haut de l'affiche ? J'imagine que tu t'imagines déjà en train d'affronter et de battre Bobby Roode pour son titre ? Je serais toi, je redescendrais sur terre... Pour ça, tu devrais déjà commencer par tenter de me battre. J'essayerais d'y aller doucement mais tu sais quoi Amore, on a finalement quelque chose en commun. Ni toi, ni moi, ne faisons dans la demie-mesure... T'as quand même battu MVP dans un Hardcore Match, t'es quelqu'un de solide... J'ai déjà tué, je me suis déjà presque sacrifié, pour pouvoir être victorieux. J'ai terminé des affrontements en sang, à ne plus savoir mon nom, mon adresse, à ne plus me reconnaître dans le miroir une fois le combat terminé. Tu seras prêt à en arriver jusque là ? J'en doute... Moi, oui.  KEVIN STEEN - Kill Steen... KILL. Avvedeci | |
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