War is Coming ( La Partie se trouve ici )

waterloo

"La Garde meurt mais ne se rend pas ! "



Nous y sommes enfin, la grande bataille qui va sceller le destin de la France est entrain de se dérouler. Une Bataille qui oppose la France aux armées Anglaises commandée par le Général Wellington, et les forces Prussienne de Blücher.

Tout commence le 16 Juin au matin, lorsque un corps de l'armée de Prusse arrive a Ligny voulant jouer sur le fait que l'armée Française n'est pas encore totalement rassemblé, et prendre un avantage sur Napoléon. L'armée Prusse disposent d'une force de 90 000 hommes dont des pièces d'artilleries. Du coté des français, une partie de l'armée est engagé dans les combat, environ 60 000 hommes. Le Maréchal Grouchy s'oppose avec sa cavalerie aux forces prussienne qui sont pourtant plus nombreuse. Les combats sont violents, et l’aile droite de Grouchy sort vainqueur des affrontements contre l'armée Prussienne, qui rendu à 67 000 hommes, décide se se replier. Les ordres de Napoléon sont simple, le Maréchal Grougy doit poursuivre l'armée Prusse et l’empêcher qu'elle ne rejoigne les anglais. 34 000 hommes sont mobilisé sous l'ordre de Grouchy pour réalisé cette pirouette militaire.



De son coté Napoléon fais route avec Le Maréchal Ney pour affronter les anglais. Les forces Napoléonienne et la cavalerie de Ney affronte des lors des fantassins anglais au alentours de fermes de de maison dites La Bataille des Quatre Bras. On dénombre les forces ennemis a 37 000 fantassins, et 1500 Cavaliers pour les forces anglaise en présence, et 8000 soldats néerlandais. De leurs coté, les Francais dispose de 20 000  soldats d'infanterie et de 3000 cavaliers. Cette bataille est remporté par l'armée française qui vont perdre 4000 hommes, de même que les forces adverses. Toutefois, Napoléon est en colère, selon lui cette bataille n'aura servi a rien, que pour une petite position stratégique au prix de nombreuse vie, alors que le Général Wellington viens de se replier a Waterloo avec d'importants contingents d'hommes.

Le 18 Juin au aurore, le Maréchal Grouchy retrouve les forces de Blücher dont il avait récu l'ordre de les arreter avant qu'il ne rejoigne les anglais. Les 34 000 de Grouchy assaillent les 67 000 Prussiens, qui vont perdre au moins 12000 hommes contre 1000 a peine coté francais, ce qui va pousser le commandement Prussien a battre en retraite. Grouchy se met alors en direction de Waterloo avant qu'il ne soit trop tard.



La bataille qui décidera du sort de la France commence a 11 h 30, le 18 Juin 1815, elle oppose 90 000 du coté Français, et 80 000 hommes coté des forces anglaises. Les français attaquent le château de Hougaumont, poste avancé des Anglais, ou il prévoit d'y attirer une partie des Anglais, afin de dégarnir et vider leurs centre où Napoléon prévoit de porter une attaque majeur. malgré le courage des soldats, ils ne parviennent pas a percer les lignes ennemis, et a prendre le château. Les victimes sont nombreuses au cours de plusieurs assauts infructueux. Au même moment, le Maréchal Ney attaque avec sa cavalerie, 12 600 cavalier, les lignes anglaise en formation de carré, dans ce qui semble être la plus grosse charge de cavalerie de l'histoire. La charge est un échec cuisant, et le Maréchal Ney qui finit a pied, charge contre l’ennemi avec un groupe d'infanterie et hurle " Venez voir comment meurs un Maréchal de France " Du courage peut être, quoi qu'il en soit, il ne fais que coûter a la France que d'avantage de perte qui la rapproche d'une défaite certaine.

Napoléon joue ses dernières carte, et envoi le reste de l'armée attaquer les lignes et base majeur des forces anglaise. Les combats qui s'en suivent, montre le courage de l'armée Francaise qui avance malgré les coups de cannons anglais, et les pertes française qui ne cesse d'augmenter. L'infanterie anglaise avance sur eux, le  général Britannique Colville  demande au français de se rendre. Le Général Cambronne répond "La garde meurt mais ne se rend pas" Puis  " Merde "; et de continuer la charge. Les fantassins français marche vers les lignes anglaises, qui continue d"ouvrir le feu a coup de cannons, et envoyant ses troupes détruire les dernières forces française.

Les forces françaises sont en mauvaise postures, mais en fin de journée, Le Maréchal Grouchy, qui avait réussi très tôt le matin à battre une bonne partie des troupes Prusienne de Blücher, arrive avec sa cavalerie et 33 000 hommes et prend par surprise le flanc des forces anglaise. Voyant en cela un plan parfait, Napoléon ordonne a toutes les troupes françaises d'avancer et d'attaquer. La Cavalerie de Grouchy surprend les canonniers, et les empêches de tirer, tandis que les troupes de Napoléon repousse les forces anglaises vers les position de Grouchy, qui a envoyer des hommes derrières les lignes adverses. Acculé de toute part, Le Général Wellington voyant les nombreuses pertes anglaise fait sonner la retraite.

Les Anglais se replient ensuite au Royaume de Hollande, pour se joindre a des renforts britaniques et hollandais.  Napoléon entre ensuite a Bruxelles en compagnie de 100 000 hommes en comptant les armées de Grouchy, et proclame le même jour l’annexion du Royaume de Belgique a l'Empire Français.
Cette grosse bataille aura coûté 5000 morts coté français, et la perte d'une grosse quantité de cannons, et des milliers de blessés. Quoi qu'il en soit, la France vient de gagner une bataille, mais quel plan se dessine par la suite, est ce que la 7 ème coalition va tenter une grosse attaque pour reprendre Bruxelles, ou vont t'il tenter d'envahir la France par le Rhin, que fera Napoléon, va t'il porter l'ultime coup aux forces anglaises basé dans le Royaume de Hollande,  ou va t'il attaquer la Prusse, et Blücher qui s'est retranché a Berlin. la réponse au prochain épisode.




Note : Tout ce qui a été ecrit pour l'instant est authentique et réel, seul fait inventé est l'arrivé de Grouchy sur le champ de bataille. En effet, Blücher et son armée vont réussir grâce a une belle manœuvre a tromper Grouchy, et a l'esquiver, pour venir avec 50 000 hommes prêter mains fortes au anglais, ce qui va coûter encore plus la défaite a Napoléon